ICONI BRULE ENCORE WA WA WA CHILE
L’utilisation de la force physique pour contraindre, dominer, se venger, causer des dommages ou la mort, l »utilisation intentionnelle de la force physique, de menaces à l’encontre des autres, contre la communauté d’Iconi qui risque fortement d’entraîner un traumatisme, des dommages collatéraux psychologiques.
Toutes ces exactions, toutes ces utilisations de la violence sont inacceptables. Elles sont interdites par la loi, en l’occurrence bannies par la religion et par Dieu. Il ne saurait y avoir à travers cet acharnement à la bêtise, une cause ou une raison qui eut permis ou autorisé à des individus à commettre tels actes de vandalisme et de barbarie d’un autre âge. Et si par malheur, est confirmé que ces délinquants, ces barbares, ces petites frappes étaient armés, voire même encouragés ou payés par des adultes, responsables des quartiers, alors ces gens là doivent être châtiés sévèrement et répondre devant la loi. Nous avons actuellement un gros souci, les guignols (notables, cadres) qui se bouffent la gueule entre eux pour ne défendre qu’à leurs personnes et qu’à leurs intérêts, au grand dam de l’honneur d’Iconi « Iconi ya chéo, Iconi ya itrisso ».
Hélas, il n’a pas été identifié, une seule personne (notable, cadre, fundi) qui ait fait l’unanimité, la démonstration d’être capable devant la communauté d’Iconi à se hisser au dessus de la mêlée, capable d’élever la voix pour exiger l’arrêt immédiat de ses hostilités, de la guéguerre inique entre frères de sang des quartiers, pour s’affirmer comme étant le chef incontesté de la ville d’Iconi, le grand rempart, le grand défenseur de l’intérêt supérieur d’Iconi et ceci, avec une extrême et exemplaire impartialité au caractère trempé qui caractérise les grands dignitaires (MA DHWAMANA WA MDJI) ; comme le furent les Said Bahassani, les Mmada Mlazahahé, les Saida Mzé, les Hamada Ali Nohowa, les Oussoufa Soilihi Mavoumani, les Soulé Islamou, les Soulé Djaé et les Hamada Boina ; Illustres personnalités qui défendaient avec brio, d’abord l’honneur et la bienséance de la ville d’Iconi et incarnaient l’autorité. Par conséquent, tout le monde les respectait et tout le monde obéissait aux injonctions sans rechigner. Il se dégageait en eux une détermination, une volonté, un sens de sacrifice et une force de caractère à l’image des guerriers « les WANA HAMADI » qui faisaient de leurs poitrines, office de rempart pour la protection et la préservation de la cité.
Actuellement la ville est dirigée par une bande de petites pointures (notables, cadres, et fundis) qui n’ont rien pigé et qui n’ont pas assimilé non plus le rôle d’un notable, « dhwamana wa mdji ». Ils se croient importants, parce qu’ils ont fait le « anda » avec « mharuma » de « chinchilla » de « mru mdzima », alors qu’ils sont minables, incapables de jouer dans la cour des grands, comme les Hamada Paquet et les Moahamed Chanfiou. Ils ont abandonné la ville aux délinquants et aux petits bandits, pour leur dicter leur loi, la loi de la rue avec la bénédiction coupable de certains adultes , pour saccager et brûler Iconi, sans peur ni remords ; Ils ont Sali BICHIONI, ils ont terni l’image de la grande mosquée de Vendredi, ils ont souillé le Palais KAVIRIDJEWE, ils et seront toujours responsables devant l’ETERNITE, et ils ont fait une plaie béante dans tous les cœurs des iconiens. Nous ne les pardonnerons pas et Dieu les maudira de leur vivant et de leur mort, ainsi que tous ceux qui sont impliqués de près ou de loin dans cette mascarade de destruction de l’image d’Iconi. Ils répondront tous de la colère de Dieu.
Les propriétaires des maisons et les véhicules détruits ainsi que la communauté d’Iconi seront vengés par une colère sans égale par Dieu. Ceux qui ont payé les casseurs, ceux qui ont conseillé, tous iront en Enfer et le châtiment extrême de Dieu leur sera acquis en Enfer. Dieu châtiera d’une sévérité sans égale tous ceux qui se sont rendus coupables des dégradations des maisons par le feu des véhicules et du patrimoine culturel de la ville. De leur vivant, ils seront malheureux pour avoir offensé la ville d’Iconi et avoir terni sa réputation à dimension internationale. Que Dieu les punisse et les bannisse.
Mohamed Youssouf Soilihi Mavoumani
(Django)
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